Chaque item est coté de 0 à 4.
0 : Pas de comportement anormal de retrait
1 : Comportement discrètement anormal
2 : Comportement nettement anormal
3 : Comportement très nettement anormal
4 : Comportement massivement anormal
L’échelle est au mieux remplie par l’observateur lui-même, sur la base de ses propres observations, juste après la consultation. On évalue d’abord le comportement spontané, puis la réaction aux stimulations (sourire, voix, geste, toucher, etc..), en suivant l’évolution des réactions tout au long de l’examen. La valeur correspond à la réaction la plus significative pendant toute la durée de l’observation. En cas d’hésitation entre deux valeurs de l’échelle, on applique la gradation ci-dessus. En cas de doute, on applique la valeur la plus basse.
1 EXPRESSION DU VISAGE. Diminution de l’expressivité du visage:
0 1 : 2 : 3 : 4
2 CONTACT VISUEL. Diminution du contact visuel:
0 1 : 2 : 3 : 4
3 ACTIVITE CORPORELLE. : Diminution de la mobilité de la tête, du torse et des membres, sans prendre en compte l’activité des mains et des doigts
0 1 : 2 : 3 : 4
4 GESTES D’AUTO-STIMULATION. L’enfant se centre son corps (doigts, mains, cheveux, succion du pouce, frottement répétitifs...), d’une manière automatique, sans plaisir, et de façon apparaissant détachée du reste de son activité’ :
0 1 : 2 : 3 : 4
5 VOCALISATIONS. Diminution des vocalisations, qu’elles traduisent le plaisir (gazouillis, rire, babil, lallations, cris aigus de plaisir), mais aussi le déplaisir, l’anxiété ou la douleur (cris, geignements et pleurs) :
0 1 : 2 : 3 : 4
6 VIVACITE DE LA REACTION A LA STIMULATION. Diminution de la vivacité de la réaction à la stimulation, au cours de l’examen (sourire, voix, toucher). Note: ce n’est pas l’ampleur de la réponse qui est évaluée ici, mais le délai de la réponse ; l’absence de réaction ne permet pas de coter:
0 1 : 2 : 3 : 4
7 RELATION. Diminution de l’aptitude de l’enfant à entrer en relation, avec l’observateur, l’examinateur ou toute personne présente dans la pièce, excepté celle qui s’occupe habituellement de l’enfant. La relation est évaluée par le comportement, le contact visuel, la réaction aux stimulations :
0 : 1 : 2 : .3 : 4 :
8 - ATTRACTIVITE. Effort d’attention nécessaire pour rester en contact avec l’enfant, et sentiment de plaisir ou d’inquiétude que procure le contact avec l’enfant, et le sentiment subjectif de durée de l’examen :
0 : 1 : 2 : 3 : 4
Nom/N° : Age : Examinateur Total:
matthey, črnčec, & guedeney (2005). Ó
Chaque item est coté selon les catégories suivantes:
0: Satisfaisant
1: Problème possible
2: Problème manifeste
Cette échelle est au mieux remplie par l’observateur sur la base de ce qu’il ou elle observe au cours de l’examen ou du test.. Le clinicien devrait chercher à engager l’enfant, par des sourires, en lui adressant la parole et en le touchant.
1. Expression faciale:
L’observateur évalue l’expressivité faciale tout au long de l’examen
0: Satisfaisant: Claire expressivité faciale positive ou négative, avec fréquents changements d’expression.
1: Problème possible: Expressivité faciale limitée, peu de changements d’expression
2: Problème manifeste: Absence d’expressivité faciale; le visage apparaît figé, pendant presque toute l’observation .
2. contact oculaire:
L’observateur évalue la qualité et la fréquence du contact oculaire de l’enfant avec lui ou elle
0: Satisfaisant: Au moins un épisode de contact oculaire modéré avec plusieurs épisodes de contact bref
1: Problème possible Seulement deux épisodes de contact bref, ou juste un seul modérément prolongé
2: Problème manifeste: Un seul contact bref, ou contact vague, fuyant, ou absent
3. Vocalisations:
L’observateur évalue la fréquence des vocalisations spontanées de plaisir, mais aussi l’absence de vocalisations de déplaisir ou de protestation, au cours de l’observation.
0: Satisfaisant: Au moins quelques vocalisations brèves (hors pleurs), ou une ou deux vocalisations plus longues, sans pleurs
1: Problème possible Seulement quelques très rares vocalisations, sans pleurs, ou en leur absence , cris en réponse à une stimulation, ou des geignements répétés.
2: Problème manifeste Geignement occasionnel en réponse à une stimulation, ou absence totale de vocalisations.
4. Activité generale:
On évalue la fréquence des mouvements de la tête du torse et des membres sans prendre en compte celle des doigts et des mains, de façon spontanée et en réponse aux stimulations
0: Satisfaisant: Au moins une activité modérée spontanée, avec quelques mouvements de la tête du tronc et des membres.
1: Problème possible : Niveau très réduit d’activité spontanée, très eu de mouvements de la tête et des membres, mais réponse à la stimulation
2 : Problème manifeste Pas d’activité spontanée, ou réponse très faible à la stimulation
5. Relation:
On évalue la capacité de l’enfant de s’engager dans la relation avec l’observateur, et sa capacité à la soutenir. La relation est évaluée par l’attitude vis-à-vis de l’autre, le contact visuel, la réaction aux stimulations et l’interaction.
0: Satisfaisant: Une relation au moins modérée est évidente, qu’elle soit positive ou négative
1: Problème possible : La relation semble ténue ou même douteuse, ou seulement nette quand l’enfant crie ou s’oppose
2: Problème manifeste Pas de relation visible, positive ou négative
Total:
Nombre de ‘Satisfaisant’:
Nombre de ‘Problème possible’ :
Nombre de ‘Problème manifeste :
DATE: AGE: NOM:
EXAMINATEUR: LIEU:
(Dérivée de l’échelle ADBB : Guedeney & Fermanian, 2001).
Reference: Matthey, S., Črnčec, R., & Guedeney, A. (2005). The Modified ADBB Scale (M-ADBB). Sydney South West Area Health Service, Sydney, Australia.
This Norvegian team made a longitudinal study with Adbb comparing premature with term babies in Bergen. Lars Smith
& Vibeke Moe now run a longitudinal study in Norway on early risk and resilience factors in early development.
Johanne Smith-Nielsen
Mette Skovgaard Vaever
Rie Krondorf von Wowern
Barbara FERNANDES CARVALHO FIGUEREIDO , Phd is professor in Minho univ; she made a study with ADBB for infants of adolescents and a study run by Raquel COSTA, Phd , Lisbon , on a longitudinal sample of a 100 infants followed from birth onwards, and now in a second longitudinal larger study, both using the ADBB.
Johanna BAPTISTA and Isabel SOARES made a study in the public Portuguese orphanages, along with Jay Belsky.
Daphna DOLLBERG, Phd School of Behavioral Sciences, Academic College of Tel Aviv-Yaffo, Rabenu Yeruham Street, P.O.B. 8401, Yaffo 61083, Israel; e-mail: daphna@mta.ac.il. Daphna Dollberg made with Miri KEREN and Ruth FELDMANN a study of a feeding situation in a community sample, using the ADBB. She made a study on adoptees comparing video guidance with care as usual. She collaborates with Naama ATZABA- PORIA (Ben Gourion univ Neguev), Sylvie VIAUX SAVELON and Miri KEREN on a study with Arab Israleli families.
Alexandra DEPREZ, PhD is a trainer for ADBB in Luxemburg and Belgium. She made a study in Belgian protection institution for maltreated infants.
The Valencia group
The Valencia Group, headed by Pascual PALAU SUBIELA PhD D works within the Valencia psychology university, with a mater and doctorates in early development. The Uruguayan team acts as a trainer for the Valencia team: Nahir BONIFACINO, psychoanalyst, PhD student, made a study on training pediatricians along with Andrea PLEVAK MD pediatrician Montevideo , and Dora MUSETTI, Psychoanalyst and psychologist Montevideo.
Carla PEREZ MARTINEZ, Valencia PhD student, from Mexico, has become an expert rater for both ADBb and m ADBB. She is part of the palate cleft study (B Grollemund, France) and of the Prader Willy Study (Maité Tauber, Toulouse France)
Nina BURTCHEN MD PHD is pediatrician, and expert in coding interaction and ADBB. She made a study with women with major depressive disorders, in a face to face situation with their infants, using Adbb. She is now in Freiburg on Brisgau, Germany.
Led by Bruno GROLLEMUND, orthodontist, PhD, in Strasbourg, along with centers in Paris (Pascale GAVELLE, Necker), Lille and Nancy, along with Pascale GRAVELLE psychologist and many others surgeons and psychologists. Carla PERES MARTINEZ made the recoding of all cases both with m ADBB and ADBB, enabling for a validation of the scales in this situation.
Carla Peres Martinez
The Prader Willy study by Pr Maite Tauber
Pr Tauber in Toulouse is leading the French reference center for Prader-Willy syndrom. She made the first study using Oxytocin with four months old infants, being hospitalized with their parents. The effect was judged on feeding, on Adbb and on parent infant interaction as assessed with the GIS (Feldman). Sylvie VIAUX-SAVELON-MD PhD is expert to score the GIS. Nahir BONIFACINO and Andrea PLEVAK scored the feeding situation with the Adbb. But feeding is a very difficult situation for PW babies, and we had to score the pediatric examination, by Carla PERES MARTINEZ to see a correlation with the GIS and with doses of oxytocin.
Catarina Furmark
Jaqueline WENDLAND, PhD, professor of psychology, institut de psychologie, Paris 5. ADBB trainer; she has led several PhDs and studies using the scale, in France as in Brazil.
Martine VERMILLARD -GATEAU, infant nurse, psychologist, was part of the team who made the first French validation of the ADBB in a well-baby clinic. She is doing training for researchers and clinician in France and in Quebec
Sylvie VIAUX SAVELON MD PhD is child psychiatrist. She is an expert in coding both with ADBB and with Feldmann’s GIS for parent infant interaction.
Pr Renaud JARDRI , MD, Ph D Lille is leading the MOCITRAINING study in which pediatrician are trained with ADBB and use of EPDS and train some colleagues to see the effect of the training on screening and on effectiveness.
Contacts :
Pr Antoine Guedeney, faculté de médecine Xavier Bichat
(Paris VII, univ Diderot-Paris Cité)
antoine.guedeney@aphp.fr
Policlinique Ney -Jenny Aubry
124 blvd Ney 75018 Paris